MATIÈRES ET OBJETS RELIÉS
AUX CULTES DE LA FORÊT ÉPOPÉE
LA KUMBÉRINE
La Kumbérine est une matière intelligente excessivement rare et précieuse. On la trouve matérialisée dans le sceptre de l’influence esthétique, le Badoo. C’est une relique sacrée que tous les peuples cherchent à remporter lors des joutes artistiques de Pointe-Ka. Ces joutes se déroulent tous les 3 ans au festival des peuples, « les Grandes Octaves. » La production de la meilleure création scénique garantit, au peuple vainqueur, une suprématie de style pendant 3 années. Les gagnants ont alors le pouvoir de proposer une réforme et d’emporter le Badoo de Kumbérine chez eux pour entrer en relation avec sa matière intelligente aux pouvoirs magiques.


LE BADOO
Au bout de trois ans, le Badoo est rapporté à Pointe-Ka et remis en jeu des meilleures créations présentées aux Grandes Octaves. Rythmant les cérémonies et manifestations au sol, les deux lunes montent à l’horizon de l’océan qui les reflète. La grande lune bleue et la petite lune rousse exécutent un ballet qui les emporte vers leur position remarquable. La petite lune rousse, satellite de la grande lune bleue, remonte l’axe vertical de la grande lune pour aller se placer au-dessus d’elle. Tous les trois ans, la conjonction parfaite des lunes crée un rayon de lumière visible seulement pendant trois secondes. Le rayon descend alors sur Pointe-Ka pour se relier à la Kumbérine du Badoo brandi par le vainqueur des joutes artistiques où concourent les champions des six civilisations.
LE RAYON DES LUNES
En tombant sur le sceptre, le rayon des lunes désigne et investit le peuple qui influencera les cinq autres civilisations jusqu’aux prochaines Grandes Octaves. Quand le phénomène optique tombe du ciel à la conjonction des lunes, le Badoo rechargé se transforme, impulse chaque fois, un nouvel élan, un nouveau souffle, de nouveaux possibles, une conscience plus ouverte reliée entre les civilisations vivant sous les nuages.
Mais si le Badoo est remporté par les Rakas, grâce à des tours discutables mais ayant subjugué le public qui les aura gratifiés de la plus grande ovation, alors l’influence de leur Badoo-Raka est remplit d’incohérence, de souffrance et de peur gagnant toutes les civilisations. Les mesures qu’ils décrètent sont si contraignantes et déshumanisantes que devant une telle adversité, de petits groupes inter civilisationnels se dressent, réunissent leurs atouts, conjuguent leurs différences en forces protectrices et de résistance à la tyrannie des Rakas. Ces groupes rebelles, gardiens des bonnes intentions, veillent, agissent et se manifestent en marge des joutes artistiques où se font et se défont les suprématies.

LE GRAND LIVRE
Le Grand Livre, haut comme trois personnes, fait partie de ces reliques habitées de technologie mystérieuse renfermant les mémoires des réalités des temps anciens et de l’ère moderne de la Forêt Épopée. La mécanique quantique de cet objet sacré est mise en route par le polyèdre de Kumbérine enfiché dans le bâton de saut avec lequel Conteur Visage peut voler dans les cieux et se transporter ailleurs
LE CONTEUR MASQUÉ
Le Conteur Masqué est le gardien et l’officiant du Grand Livre qui se dresse sur une falaise du pays d’Oralie dans le parc portant son nom. Les aventures d’héroïnes, de héros et d’anonymes de toutes les régions, de toutes les époques sont décrites dans le Grand Livre. Elles y sont lisibles, audibles et visibles en images profondes, débordant de la mécanique animée par l’intelligence de la Kumbérine contenue dans cet extraordinaire artefact.

DES TEMPS ANCIENS À L'ÈRE MODERNE
Les récits épiques des mythes fondateurs, comme les légendes des peuples en marche vers leur destin, sont des chapitres des temps anciens beaucoup consultés. Pour l’ère moderne, le hit des consultations revient aux compilations des plus belles créations présentées aux Grandes Octaves de Pointe-Ka depuis qu’elles existent. Mais “la vie de Yusun”, le créateur des temps les plus anciens, est incontestablement l’archive la plus recherchée. La vie de ce sage fascine depuis des générations.
Yusun, exalté par la beauté qu’il voyait dans la multitude des plantes avec lesquelles il entrait en relation profonde, communiquait avec elles ainsi qu’avec l’âme des créatures mobiles qu’il croisait. Il ressentait ce qu’elles ressentaient, leurs besoins, leurs envies, leurs consciences. L’histoire de Yusun, dans le Grand Livre, parle également de sa rencontre avec Mandlo, la reine des sirènes et du culte qui débuta à sa disparition de la Forêt Épopée. Jusqu’à ce jour, toutes les civilisations vivant sous les nuages, louent et prient Yusun en espérant son retour, désigné dans les textes comme “Le jour du grand partage.”
Mais depuis que le Grand Livre existe, seul le Conteur Masqué d’Oralie peut activer la mécanique du Livre avec son bâton de saut enfiché d’un polyèdre de Kumbérine. Les deux s’allient pour réveiller la mécanique et nous emporter dans des mémoires épiques à tel moment des temps où telle civilisation avait remporté et possédait le Badoo.
Quand on regardait dans le Grand Livre, l’imprégnation que l’on avait des figures, des récits et des contextes, était propice à éveiller les consciences et élever les âmes. Cela rappelait que même si tous vivaient au même moment sur la même île-continent, tous n’avaient pas le même rythme, la même appréhension, ni les mêmes envies. Il était établi qu’un Oralien n’avait pas le même tempo, la même fréquence qu’un Tamboulbit, qu’un Morne-Bleuen, qu’un Kadansé, ou qu’un Yxyot. Chaque civilisation sous les nuages émettait sa propre fréquence et avait son propre rythme. La tolérance était donc de mise et naturelle.
S’agissant des questions inter-sociétales posées aux Épopéens, le temps de réponse des civilisations variait suivant les spécificités, les ressentis et l’intérêt des questions posées qui appelaient pourtant des réflexions pour parvenir à des réponses claires. Mais entre priorité et manque de motivation, chaque civilisation ne s’y impliquait que lorsqu’elle y songeait. Le temps passait et les réponses tardaient.
Pour harmoniser les temps d’interprétation et d’appropriation des questions concernant la qualité des échanges entre les 5 civilisations vivant sous les nuages, on se référait et se réfère toujours à l’Esprit Général Épopéen. Il se construit motivé par la beauté de faire, de dire et d’offrir dans des fréquences hautes. Et cela suivant son style et sa meilleure manière. L’Egé accorde donc à tous une échelle de temps variable pour préparer et réaliser les petites comme les grandes œuvres. Intégrer des nouveautés proposées par une, deux ou trois civilisations demandait l’unanimité de tous les peuples vivant sous les nuages pour être adoptées. Même si elles prenaient du temps, les questions visant à améliorer les relations inter civilisationnelles, aboutissaient toujours pour garantir le meilleur Esprit Général Épopéen.
Mais au temps présent de la Forêt Épopée, nous sommes dans la première année du Badoo-Oralien. Il diffuse partout de bonnes fréquences. On remarque que la motivation des jeunes se concentre dans la quête d’un Egé tolérant et créant “l’Hépop”, désignant un style de vie idéalisé en mode satisfaction durable et enthousiasmante. « Hépop » est l’expression de la jeunesse Oralienne forte de son Badoo. Le mot est vite passé dans le langage courant épopéen pour marquer des actions et situations hyper positives, rayonnantes, remarquables donc Hépops !
Inspirée par l’influence du Badoo-Oralien rayonnant sur toute l’île-continent, la chanson d’une jeune Tamboulbit, intitulée « Egé Hépop », passe en ce moment sur tous les postes et fait danser sur toutes les pistes…
Fin du survol rapide de ce qui existe, de ce qu’il se passait et se passe sur l’île-continent. Pour une imprégnation plus profonde, Le cycle de la Forêt Épopée tome 1 et 2 sont disponibles. Ses 15 nouvelles, aux couvertures merveilleuses, vous éclaireront sur les captivants développements et trajectoires des civilisations du monde évoqués dans ce tuto.
Un vénérable membre de la Guilde des conteurs rapporte que : “De la cosmogonie de la Forêt Épopée, on en fait déjà tout un monde.”
DES TEMPS ANCIENS À L'ÈRE MODERNE


Les récits épiques des mythes fondateurs, comme les légendes des peuples en marche vers leur destin, sont des chapitres des temps anciens beaucoup consultés. Pour l’ère moderne, le hit des consultations revient aux compilations des plus belles créations présentées aux Grandes Octaves de Pointe-Ka depuis qu’elles existent. Mais “la vie de Yusun”, le créateur des temps les plus anciens, est incontestablement l’archive la plus recherchée. La vie de ce sage fascine depuis des générations.
Yusun, exalté par la beauté qu’il voyait dans la multitude des plantes avec lesquelles il entrait en relation profonde, communiquait avec elles ainsi qu’avec l’âme des créatures mobiles qu’il croisait. Il ressentait ce qu’elles ressentaient, leurs besoins, leurs envies, leurs consciences. L’histoire de Yusun, dans le Grand Livre, parle également de sa rencontre avec Mandlo, la reine des sirènes et du culte qui débuta à sa disparition de la Forêt Épopée. Jusqu’à ce jour, toutes les civilisations vivant sous les nuages, louent et prient Yusun en espérant son retour, désigné dans les textes comme “Le jour du grand partage.”
Mais depuis que le Grand Livre existe, seul le Conteur Masqué d’Oralie peut activer la mécanique du Livre avec son bâton de saut enfiché d’un polyèdre de Kumbérine. Les deux s’allient pour réveiller la mécanique et nous emporter dans des mémoires épiques à tel moment des temps où telle civilisation avait remporté et possédait le Badoo.
Quand on regardait dans le Grand Livre, l’imprégnation que l’on avait des figures, des récits et des contextes, était propice à éveiller les consciences et élever les âmes. Cela rappelait que même si tous vivaient au même moment sur la même île-continent, tous n’avaient pas le même rythme, la même appréhension, ni les mêmes envies. Il était établi qu’un Oralien n’avait pas le même tempo, la même fréquence qu’un Tamboulbit, qu’un Morne-Bleuen, qu’un Kadansé, ou qu’un Yxyot. Chaque civilisation sous les nuages émettait sa propre fréquence et avait son propre rythme. La tolérance était donc de mise et naturelle.

S’agissant des questions inter-sociétales posées aux Épopéens, le temps de réponse des civilisations variait suivant les spécificités, les ressentis et l’intérêt des questions posées qui appelaient pourtant des réflexions pour parvenir à des réponses claires. Mais entre priorité et manque de motivation, chaque civilisation ne s’y impliquait que lorsqu’elle y songeait. Le temps passait et les réponses tardaient.
Pour harmoniser les temps d’interprétation et d’appropriation des questions concernant la qualité des échanges entre les 5 civilisations vivant sous les nuages, on se référait et se réfère toujours à l’Esprit Général Épopéen. Il se construit motivé par la beauté de faire, de dire et d’offrir dans des fréquences hautes. Et cela suivant son style et sa meilleure manière. L’Egé accorde donc à tous une échelle de temps variable pour préparer et réaliser les petites comme les grandes œuvres. Intégrer des nouveautés proposées par une, deux ou trois civilisations demandait l’unanimité de tous les peuples vivant sous les nuages pour être adoptées. Même si elles prenaient du temps, les questions visant à améliorer les relations inter civilisationnelles, aboutissaient toujours pour garantir le meilleur Esprit Général Épopéen.
Mais au temps présent de la Forêt Épopée, nous sommes dans la première année du Badoo-Oralien. Il diffuse partout de bonnes fréquences. On remarque que la motivation des jeunes se concentre dans la quête d’un Egé tolérant et créant “l’Hépop”, désignant un style de vie idéalisé en mode satisfaction durable et enthousiasmante. « Hépop » est l’expression de la jeunesse Oralienne forte de son Badoo. Le mot est vite passé dans le langage courant épopéen pour marquer des actions et situations hyper positives, rayonnantes, remarquables donc Hépops !
Inspirée par l’influence du Badoo-Oralien rayonnant sur toute l’île-continent, la chanson d’une jeune Tamboulbit, intitulée « Egé Hépop », passe en ce moment sur tous les postes et fait danser sur toutes les pistes…
Fin du survol rapide de ce qui existe, de ce qu’il se passait et se passe sur l’île-continent. Pour une imprégnation plus profonde, Le cycle de la Forêt Épopée tome 1 et 2 sont disponibles. Ses 15 nouvelles, aux couvertures merveilleuses, vous éclaireront sur les captivants développements et trajectoires des civilisations du monde évoqués dans ce tuto.
Un vénérable membre de la Guilde des conteurs rapporte que : “De la cosmogonie de la Forêt Épopée, on en fait déjà tout un monde.”
